Cherchant à définir la dimension morale de l'anarchisme, l'auteur dénonce les fausses morales imposées par le prêtre, le juge et le gouvernant. Pour autant, il ne nie pas la nécessité d'une éthique et considère comme moral ce qui est utile à la société, des valeurs comme la solidarité, l'entraide ou encore la sympathie. Il s'inspire du monde animal pour illustrer son propos.