Poursuivant son exploration de l’Histoire dans le style du réalisme magique, Paul Kawczak revisite ici la période de l’Occupation. Littéraire et politique, Le bonheur fait d’une aventure palpitante une réflexion sur la solidarité, l’art et la démocratie. Un hommage aux enfants sacrifiés sur l’autel du fascisme, ainsi qu’aux femmes qui les ont protégés.