S'appuyant sur une enquête sur les plastiques, l'auteur s'interroge sur la notion de pollution ainsi que sur les ambiguïtés du recyclage et du nettoyage. Il montre que la pollution n'est pas un effet du colonialisme, mais la mise en place de rapports coloniaux à la terre. A travers ce texte, il vise à établir une manière collective d'être au monde en défendant une science anticoloniale.