Ce roman est une troublante et captivante réponse à tous ceux qui se sont déjà posé la question : « Et si, sans le savoir, j’étais davantage que ce que je suis aujourd’hui? ». Après le succès en librairie de La Grande Mascarade, encensé par la critique et comparé aux romans initiatiques de la trempe de L’Alchimiste, La Prophétie des Andes, et Illusions ou le messie récalcitrant, voici L’Ode à la joie, deuxième tome d’une trilogie d’A.B. Winter. Par l’entremise d’un thriller spirituel moderne, L’Ode à la joie raconte avec suspense l’existence d’un monde parallèle mystérieux, un grand réseau, au sein duquel les enfants, afin de se conformer à la société, abandonnent leur véritable identité aux mains de gardiens de la vérité, en mettant des masques pour se transformer et devenir des personnes qu’ils ne sont pas. Contrairement au premier tome où l’on dévoilait l’existence du réseau, son fonctionnement et la possibilité d’enlever ses masques et de revenir à sa vraie personnalité, le 2e tome va éclairer davantage le lecteur sur le danger qui a un jour menacé la survie du réseau et ce qui l’a sauvé. À travers la vie et l’histoire de quelques personnages en quête d’authenticité, dont un jeune homme désillusionné et ignoble, les lecteurs vont comprendre pourquoi et comment le réseau a été préservé jusqu’à ce jour, et surtout comment Beethoven, avec l’aide de la Neuvième Symphonie, en faisait partie. Même s’il y a un lien, le tome deux se lit indépendamment du premier.