À l’âge de 35 ans, Ariane apprend qu’elle est dotée non pas d’un trouble anxieux et de tendances dépressives comme elle le croyait depuis une dizaine d’années, mais de neurodivergence : une douance qu’elle soupçonnait et un TDAH dont elle ignorait l’existence. C’est la lumière au bout d’un sinueux tunnel, mais aussi le début d’une quête d’acceptation de soi saupoudrée de deuils, de révélations, et surtout du constat que de nombreuses femmes autour d’elles se découvraient, sur le tard elles aussi, un spicy brain.