Cette réponse à Dion et à son Eloge de la chevelure, fait partie des joutes rhétoriques auxquelles se livraient les penseurs et les écrivains grecs de l'Antiquité. Avec humour, le philosophe s'appuie sur des exemples pour la plupart tirés d'Homère afin d'affirmer que le poil fuit l'intelligence, et inversement.