Le biologiste dresse un état des crises sociale, politique ou climatique qui touchent la France, et dénonce la logique de cohérence politique qui conduit à une logique de blocs. Il fait l'éloge de l'incohérence en s'appuyant sur les mécanismes à l'échelle cellulaire des plantes et des organismes prouvant leurs facultés d'adaptation, et s'en inspire pour proposer des principes de gestion de crise.