Le philosophe analyse le cinéma de Clint Eastwood sous un angle philosophique, notamment à partir d'Aristote, Kant ou Hegel, et montre comment la tension dans ses films peut conduire à une métamorphose. Il met en valeur la dimension existentielle, éthique et métaphysique du travail du réalisateur : des films au service de la vie et du réel, permettant au spectateur de se retrouver.