Il y a les premiers symptômes, l’inquiétude, les tests, puis l’annonce tant redoutée : celle de la maladie. Aussitôt, entre les murs de l’hôpital, le temps s’arrête, le futur est en suspens. Si les émotions et les questions s’emmêlent, c’est le désir de vivre qui hurle le plus fort. Au chevet de la lumière illustre, par le biais d’images magnifiques, qu’on peut entretenir l’espoir même dans l’adversité.ExtraitLa maladie est une libelluleQui se pose sur mon doigtElle ne veut pas partirJe lui murmure qu’il le faut bien